Samuel et moi en sommes à nos balbutiements en ce qui a trait à l’usage de vélos à pneus surdimensionnés (fatbikes). Cela dit, nous possédons tous deux une expérience abondante en camping d’hiver et en vélo d’aventure, sans s’y limiter. Combiner les deux, et ce, avec un nouvel outil tel le Torngat de Panorama Cycles est cependant, pour le moins qu’on puisse dire, un tout autre sport!

Nous avons donc prévu effectuer une ou des expéditions destinées à tester les solutions que nous avons retenues dans notre document de projet (Lalande-Markon & Tremblay, 2019). La première a eu lieu du 19 au 23 décembre dernier dans Lanaudière, plus précisément sur la route de Manawan reliant Saint-Michel-des-Saints à la communauté atikamekw de Manawan.

Communauté atikamekw de Manawan – Photo par Samuel Lalande-Markon
Le contexte

Pour ce premier défi de 180 km et 900 m de dénivelé, nous avons réservé 4 jours, soit trois jours de 55 km et une journée de 15 km, au cas où tout n’irait pas comme prévu. En effet, je devais être de retour à Montréal au plus tard à 18 h le 23 décembre! Nous avons donc pris la route (en voiture) tard le 19 pour camper en périphérie de Saint-Michel-des-Saints et partir vers le nord le lendemain matin.

La météo nous offrirait de tout, pour le moins en termes de température : de -20°C à 0°C. La troisième journée, un peu de neige s’est mêlée de la partie, mais rien pour nous ralentir. Toutefois, deux éléments importants manquaient à cette préparation, soit le vent et la surface de neige.

Sur la Route blanche, on devrait observer un vent de face de 20 km/h par -12°C en moyenne en février (Environnement et ressources naturelles [ERN], 2019a & 2019b). Cela correspond à une température ressentie de -20°C (ERN, 2019c). De plus, plutôt qu’une surface glacée, la Route blanche est constituée de neige. De ce fait, la résistance et la portance sont des facteurs qui devraient réduire la vitesse de marche en augmentant l’effort nécessaire pour se déplacer (Lalande-Markon & Tremblay, 2019).

Fatbike dans la neige – Photo par Pierre Markon
Le départ

À notre arrivée vers 22 h, nous avons déchargé la voiture puis monté notre nouvelle tente VE-25 de North Face au bord de la route. Nous avons alors constaté que celle-ci n’inclut que des piquets d’été. En forêt, le vent ne poserait pas problème pour l’instant. Cela dit, il est impératif d’acheter des piquets à neige en vue de l’expédition Route blanche.

Le montage s’est effectué rapidement et sans heurt et nous avons pu constater que le choix d’une tente pour trois nous offrirait un niveau de confort très agréable au cours du mois que nous avons prévu pour l’expédition. Dès que les portes étaient fermées, on pouvait ressentir qu’il faisait déjà plus chaud! Celle-ci est d’ailleurs si peu perméable à l’air qu’elle maintient sa forme lorsqu’on la démonte. Elle est heureusement dotée de plusieurs trappes permettant de la ventiler, au besoin. Ce n’était pas le cas à ce moment, puisqu’il faisait alors -19°C (ERN, 2019d), ou -26°C avec le refroidissement éolien (ERN, 2019c).

À notre réveil, à 6 h, la température n’avait pas varié (ERN, 2019e). Puisque nous souhaitions tester seulement quatre jours d’autonomie, soit le maximum prévu pour l’expédition Route blanche (Lalande-Markon & Tremblay, 2019), nous avons fait un détour vers un restaurant de Saint-Michel-des-Saints. Nous devions initialement prendre la voiture pour s’y rendre, mais celle-ci était en panne. Nous avons donc plutôt enfourché nos vélos.

Après s’être partagé trois déjeuners et avoir avalé plusieurs tasses de café, nous avons fait le plein d’eau chaude et sommes retournés dans le froid glacial. Une fois de retour à la voiture, nous avons entrepris de charger nos montures. Il s’agissait pour nous d’une première et il m’a fallu jusqu’à midi pour compléter le projet. Nous avons alors abandonné la voiture, figée en place, et nous avons pris la route vers le Nord.

Départ de Saint-Michel-des-Saints – Photo de Samuel Lalande-Markon
Le vrai départ

Pour les premiers kilomètres, plusieurs arrêts ont été nécessaires afin de peaufiner l’assemblage. De plus, faute de clous, nous devions faire particulièrement attention aux plaques de glace qui couvraient la chaussée. 10 kilomètres plus loin, l’enrobé bitumineux laissait place au gravier, et ce, jusqu’à Manawan. Ici, impossible de l’éviter. Nous étions sur la glace. Malgré quelques appréhensions, nous nous sommes rapidement adaptés à ces conditions, jusqu’à les oublier. Pour l’expédition Route blanche, nos pneus seront dotés de 80 clous chacun.

Vers 14 h, nous nous sommes arrêtés pour dîner. Jusqu’ici, mes bouteilles d’eau isolées, dont mon contenant de type Themos®, étaient hors de mes sacs Arkel et étaient donc particulièrement exposées au froid. L’eau de ce dernier était cependant toujours suffisamment chaude pour « cuire » mon repas déshydraté. Idem pour celui de Samuel. J’ai tout de même résolu de le ranger à l’intérieur pour les prochains jours. Quant aux autres bouteilles, je manquais d’espace pour ce faire, mais j’attendais alors une commande pour des sacs de fourche, lesquels devraient régler ce problème. Quoi qu’il en soit, l’eau dans ces bouteilles n’a subi du gel à aucun moment de l’expédition.

Nous avons poursuivi notre route jusqu’au kilomètre 53, au moment où le soleil passait sous l’horizon. Je n’avais pas cru bon apporter des guêtres et c’est donc Samuel qui s’est chargé d’ouvrir le chemin vers une clairière où nous avons monté la tente. C’est à ce moment que l’avenir de cette expédition de préparation se jouait.

Route de Manawan – Photo par Félix-Antoine Tremblay

Samuel n’avait pas apporté son réchaud et tout reposait donc sur le mien, que j’utilisais pour la première fois de la saison hivernale. J’ai activé la pompe pour créer de la pression dans mon réservoir de carburant et j’ai eu le plaisir de constater que celle-ci fonctionnait. Soulagé, j’ai ensuite entrepris de l’amorcer (de le primer), mais rien. Le carburant n’atteignant pas le réchaud.

Après quelques minutes à l’observer sous tous ses angles, je me suis souvenu d’un problème courant avec ce réchaud. Lorsque tourné à pleine ouverture, son mécanisme ne laisse pas passer le carburant. J’ai donc effectué une rotation de ce dernier, puis le carburant a finalement giclé sur le brûleur! Cela dit, le réservoir était alors lui aussi à pleine ouverture.

J’ai donc dû quitter l’enceinte de la tente pour brûler l’excédent de carburant dehors. Une fois nettoyé, j’ai finalement pu l’allumer sécuritairement dans le vestibule de la tente, et ce, pour plusieurs heures. Samuel et moi avons partagé la lourde tâche de faire fondre des litres de neige pour en obtenir un peu d’eau. Le processus a duré presque trois heures et a vidé une de nos quatre bouteilles de combustible. Pendant ce temps, je devais constamment agiter mes orteils, puisque j’avais oublié mes bottillons duvetés et que je me contentais alors de l’isolant humide de mes bottes de vélo.

Enfin, vers 20 h, nous avons pu retrouver le confort de nos sacs de couchage. Ce confort était cependant relatif, puisque Samuel a alors constaté que le sien ne serait pas suffisamment chaud pour l’expédition. Il a donc convenu d’en acheter un nouveau, mieux isolé, d’ici le départ. Heureusement, il avait apporté une couverture d’appoint au cas où ce serait un problème.

Cuisiner dans la tente – Photo par Félix-Antoine Tremblay
Jour deux

Pour cette seconde journée, nous avons à nouveau réglé le réveille-matin à 6 h. Il faisait alors -23°C, sans vent (ERN, 2019f). Nous avons à nouveau fait fondre de la neige afin de préparer le café et l’eau du déjeuner. Vers 7 h, nous avons pu commencer à manger, mais il fallait alors faire chauffer à nouveau toutes nos réserves d’eau. Pour ce faire, la deuxième bouteille de carburant a été entamée, ce qui correspondait approximativement aux prévisions de 700 ml par 24 h (Lalande-Markon & Tremblay, 2019).

Un peu avant 9 h, nous avons repris la route vers Manawan. À ce moment, mes pieds étaient dans un si piteux état que j’ai dû marcher quelques centaines de mètres pour les réchauffer. Le froid était tel que notre respiration causait une accumulation de glace sur la surface de nos manteaux, sans parler de nos barbes qui étaient alors de véritables blocs de glace.

Accumulation de glace – Photo par Samuel Lalande-Markon

La route était ici plus montagneuse, ce qui nous forçait à modifier constamment le niveau d’ouverture de nos fermetures éclair. Cela dit, malgré l’absence de clous sur nos pneus, notre progression n’était pas ralentie par la glace, au contraire. Nous avons atteint notre destination vers midi et avons été accueillis par des habitant(e)s de la localité dès notre arrivée, de même que par plusieurs chiens qui nous ont accompagnés jusqu’au lac où patinaient de nombreux jeunes de la communauté.

Patinoire sur le lac Métabeskéga – Photo par Samuel Lalande-Markon

Nous avons dîné en leur compagnie avant de reprendre la route. Tout au long de cet arrêt, je devais marcher pour éviter que mes orteils ne gèlent. Pour l’expédition Route blanche, il ne fait aucun doute que je devrai faire l’achat de nouveaux bas. Il est clair pour Samuel et moi que ce projet n’en est pas un où les engelures constituent un risque acceptable. S’il advient que le froid soit tel qu’une pause pour réchauffement s’impose, incluant notamment l’installation de la tente, nous le ferons sans atermoyer.

Sur le chemin du retour, aux environs du kilomètre 65, la température s’était cependant réchauffée jusqu’à un confortable -9°C. Nous avons installé notre camp sur les berges du lac Fer à Cheval un peu après 14 h et avons alors entrepris la création d’un véritable camp incluant un sentier, un site où cuisiner et un autre dédié aux opérations digestives. En cette seconde journée sur la route, nous avons renoué avec le plaisir du camping hivernal.

Campement du lac Fer à Cheval – Photo par Félix-Antoine Tremblay

Après quelques heures à se distraire, nous avons répété le processus de la veille en faisant fondre de la neige pour préparer notre repas. À ce moment, j’ai constaté que ma batterie externe refusait de fonctionner par temps froid. De plus amples essais seront donc nécessaires pour pallier cette problématique, mais il apparaît que celle-ci devra être rangée dans mon sac de couchage lorsqu’elle sera en fonction.

Ce jour-là, nous avons consommé 2,5 L d’eau sous forme liquide; 2,5 L d’eau sous forme de nourriture; ainsi que 1,5 L d’eau sous forme de thé, de café et de lait (en poudre) chaud, soit un total de 3,25 L chacun. Au moment de nous coucher, nous avions avec nous 4 L d’eau chaude. Lors de l’expédition, cette quantité serait 1,5 L plus élevée en raison du transport d’une quatrième bouteille d’eau isolée de 1 L et de l’achat d’un troisième contenant de type Themos® de 500 ml destiné à transporter du café.

Nous avons aussi ingéré 2 300 calories sous forme de repas, 100 calories sous forme de lait (en poudre) et environ 800 calories sous forme de collations, soit un peu plus de 3 000 calories chacun. Ce niveau de consommation est prévu pour l’expédition Route blanche, mais celui-ci ne saurait être soutenu sans des arrêts dans les différents villages.

En effet, cette consommation est vraisemblablement inférieure à la dépense énergétique que nécessitera la progression le long de la Route. Il est donc impératif de manger abondamment dans ces lieux où la nourriture n’est pas rationnée. De surcroît, nous prévoyons ajouter de l’huile à nos rations pour le dîner et le souper, laquelle contient près de 10 calories par millilitre, dont environ 1 g de lipide.

Campement du lac Fer à Cheval – Photo par Félix-Antoine Tremblay
Jour trois

En raison de notre progression rapide, la veille, nous avons convenu de retarder l’alarme matinale à 7 h, soit 30 minutes avant le lever du soleil. Il est à noter qu’au moment de réaliser l’expédition Route blanche, les journées seront plus longues de deux heures (Sunrise and sunset (2019) et Conseil national de recherches Canada (2019), cité par Lalande-Markon & Tremblay (2019)).

La validité de cette décision a été confirmée par une arrivée hâtive, à peine après midi. Nous en avons à nouveau profité pour prendre nos aises en nous permettant même un feu. Le bois mort était si abondant aux alentours que j’ai même pu prendre le temps de construire un banc pour en profiter confortablement. Le coucher du soleil nous a ultimement ramenés à notre refuge. Il faisait alors si chaud (ERN, 2019g) que l’accumulation de glace sur ses parois fondait.

Campement du lac Morissette – Photo par Félix-Antoine Tremblay

À ce moment, une problématique s’est révélée. Lors de nos arrêts dans les villages de la Basse-Côte-Nord, la tente devrait rester dehors. En effet, à moins de pouvoir garantir que celle-ci serait sèche au moment du départ, celle-ci gèlerait autrement dans son sac de transport, ce qui pourrait l’endommager au moment de l’en sortir.

Notre consommation de nourriture et d’eau a été équivalente à celle de la veille. Cela dit, la consommation de carburant a été significativement réduite, probablement en raison de la température plus élevée, mais aussi en raison des méthodes utilisées pour bouillir la neige. Plutôt que de faire fonctionner le réchaud à plein régime, il semble y avoir un gain d’efficience à réduire le débit de carburant. De plus, le réflecteur de chaleur a été mieux installé que la première soirée. Quant aux délais liés à cette tâche, ceux-ci devraient être réduits de près de moitié par l’usage d’un second réchaud, lequel apportera aussi de la redondance. Il s’agit d’un aspect primordial, puisque cet item est vital.

Le retour

À notre retour, il nous restait environ 600 ml de carburant sur les 2 000 ml du départ. Cela dit, compte tenu de la courte journée qui nous attendait, nous n’avions pas préparé toute l’eau qui aurait autrement été prévue pour le dîner et l’hydratation au cours de la journée. Il apparaît cependant que les estimations réalisées dans notre document de projet étaient réalistes (Lalande-Markon & Tremblay, 2019).

Il est toutefois à noter que ces estimations ne tenaient pas compte du processus de chauffage matinal de l’eau obtenue la veille. Il apparaît que, par leur aspect conservateur, celles-ci compensent cette dépense énergétique supplémentaire.

Avant de reprendre la route, nous avons appelé l’assistance routière afin de nous aider avec la voiture et sommes arrivés sur place une heure plus tard. Une fois la batterie survoltée, nous avons repris la route vers Montréal (en voiture). Le paysage était complètement différent qu’à notre départ. Il faisait littéralement 20°C de plus, ou 27°C avec le facteur éolien. À Montréal, on se serait cru au printemps.

Arrivée à Saint-Michel-des-Saints – Photo par Félix-Antoine Tremblay

Le départ pour la Route blanche est prévu le 8 février et celle-ci est actuellement fermée sur toute sa longueur (Ministère des Transports du Québec, 2019). Samuel et moi avons encore du pain sur la planche, mais nous dépendrons surtout du froid pour que l’expédition soit un succès!

En général, notre équipement semble au point. Nous avons notamment été surpris de ne pas avoir froid à la tête et aux mains malgré la température glaciale. Le casque Koll CS de Blivet ainsi que les gants Manni de la même entreprise, en combinaison avec des moufles DeNolin, ont parfaitement rempli leur rôle. Ces gants sont d’ailleurs ceux que nous avons portés pendant la plus grande partie de l’expédition, soit en selle et au camp.

La dernière journée, considérant la température plus chaude, nous avons testé les gants Lofi 3 de Blivet, de même que le bonnet Nasak Lobe, également de Blivet. Samuel et moi les apporterons lors de l’expédition Route blanche pour ces journées plus chaudes. Les gants à trois doigts seront aussi utiles lorsque la température sera trop froide pour l’usage des gants Manni avec les moufles.

Route de Manawan – Photo par Samuel Lalande-Markon
Références

Environnement et ressources naturelles (2019a). Données des stations pour le calcul des normales climatiques au Canada de 1981 à 2010 : Natashquan A. Repéré à : https://climat.meteo.gc.ca/climate_normals/results_1981_2010_f.html?searchType=stnProx&txtRadius=25&selCity=&selPark=&optProxType=custom&txtCentralLatDeg=50&txtCentralLatMin=11&txtCentralLatSec=0&txtCentralLongDeg=61&txtCentralLongMin=49&txtCentralLongSec=0&stnID=5715&dispBack=0
Environnement et ressources naturelles (2019b). Données des stations pour le calcul des normales climatiques au Canada de 1981 à 2010 : Lourdes-de-Blanc-Sablon A. Repéré à : https://climat.meteo.gc.ca/climate_normals/results_1981_2010_f.html?searchType=stnProx&txtRadius=25&selCity=&selPark=&optProxType=custom&txtCentralLatDeg=51&txtCentralLatMin=27&txtCentralLatSec=0&txtCentralLongDeg=57&txtCentralLongMin=11&txtCentralLongSec=0&stnID=5669&dispBack=0
Environnement et ressources naturelles (2019c). Les calculatrices de refroidissement éolien et humidex. Repéré à : https://climat.meteo.gc.ca/climate_normals/results_1981_2010_f.html?searchType=stnProx&txtRadius=25&selCity=&selPark=&optProxType=custom&txtCentralLatDeg=51&txtCentralLatMin=27&txtCentralLatSec=0&txtCentralLongDeg=57&txtCentralLongMin=11&txtCentralLongSec=0&stnID=5669&dispBack=0
Environnement et ressources naturelles (2019d). Rapport de données horaires pour le 19 décembre 2019 : Saint-Michel-des-Saints. Repéré à : https://climat.meteo.gc.ca/climate_data/hourly_data_f.html?hlyRange=2009-10-06%7C2019-12-29&dlyRange=2009-10-06%7C2019-12-29&mlyRange=%7C&StationID=48188&Prov=QC&urlExtension=_f.html&searchType=stnName&optLimit=specDate&StartYear=1840&EndYear=2019&selRowPerPage=25&Line=0&searchMethod=contains&txtStationName=saint-michel-des-saints&timeframe=1&Year=2019&Month=12&Day=19#
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Lalande-Markon, S. & Tremblay, F. (2019). Document de projet. Repéré à : https://cutt.ly/RouteBlanche
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